De l’envie à l’envoi

Du dimanche 30 juin au vendredi 5 juillet 2024, la Distylerie au bord de la Saône vous attend pour donner forme à votre projet d’écriture. Prix pour la semaine d’atelier, le logement et la pension complète: 1100.– euros. Pour les inscriptions, c’est par ici!

L’envie d’écrire est là, vous la sentez, vous avez peut-être déjà écrit un certain nombre de pages, mais votre projet n’arrive pas à prendre forme. Le but premier de cette semaine sera de mieux cerner vos envies par rapport à votre projet, de voir en quoi il est spécifique et personnel, de commencer à voir émerger sa nature propre. Une fois ces bases posées, nous nous intéresserons aux différents rituels et postures mentales qui favorisent la concentration et l’inspiration, en d’autres termes: comment se mettre face à son cahier ou à son écran dans les meilleures dispositions possibles pour faire naître les premières pages de votre projet et les suivantes.

Ensuite, nous explorerons deux approches pour donner sa forme à votre texte : d’une part, privilégier vos personnages, les fouiller, en développer leur complexité, d’autre part, construire une intrigue à la fois dynamique, cohérente et riche en rebondissements. Nous ouvrirons ensemble une série de portes sur votre texte et ce sera à vous de sentir celles qui vous seront les plus utiles. Enfin, nous parcourrons différentes techniques pour retravailler et améliorer un manuscrit puis nous aborderons la relecture et le lissage qui interviennent sur la toute dernière version de votre texte, ainsi que sur les corrections, la mise en page et la présentation de votre manuscrit.

Durant cette semaine, des plages d’écriture alterneront avec des périodes de partage au sujet des textes rédigés : les thématiques et les questions évoquées par le récit d’un des participants seront utilisées à tour de rôle pour nourrir la réflexion au sujet des textes nés en parallèle. Dans un second temps, des documents permettront de creuser certains des aspects évoqués lors des discussions autour des textes nés au bord de la Saône et viendront compléter l’apport théorique.

Photo © Joanna Kosinska